4 mai 2025
En fin de matinée, je rejoins Catherine en terrasse au “Kangourou café”, place Saint-Jacques. Une demi-heure plus tard, il passe à pied à côté de nous, nous jette un regard noir ; il récupère son vélo, précisément garé… à l’un des arceaux devant le Kangourou café. Il prend la rue de la Doucette à vélo tout en nous jetant un long regard sombre ; son visage est fermé et inquiétant. Au lieu de s’éloigner et de choisir un itinéraire moins proche, il tourne à l’angle de la place et repasse devant nous, au bout de la terrasse, en direction du Klub d’où il venait déjà.