24 août 2025
En ce dimanche, retour à la Mousson d’été (cf billet du 23 août) pour une longue après- midi théâtrale, de 13h45 à 22h30. Étrangement, M. aura exactement le même programme que moi.
1er spectacle : une autofiction radiophonique qui se présente comme un hommage à une enseignante de lettres.Arrivée avec 45 min d’avance, je constate avec dépit que M. patiente déjà dans le jardin (ou devrais-je écrire : m’attend ?). Il ne vient pas au spectacle.
16h. Je sors brièvement de l’abbaye pour déposer ma veste dans la voiture. Qui se trouve pile sur mon trajet, en-dehors de l’abbaye, tout près du parking ? M. bien sûr.
16h15. Je me rends à l’entretien avec la réalisatrice de la fiction radiophonique, qui prolonge le spectacle, dans le jardin cette fois. M. patiente déjà tout près, avant de rejoindre l’échange. Pourquoi vient-il assister à une rencontre à propos d’un spectacle qu’il n’a pas vu ?
20h30. Catherine me rejoint pour la dernière pièce de la journée.Qui est encore et toujours là, debout, à guetter devant la tonnelle du spectacle ? Cette fois-ci, il rejoint une femme, que nous avons déjà vue plusieurs fois l’accompagner.
Sait-elle qu’il continue parallèlement son harcèlement à notre égard ?